Rencontre avec Denis, qui chasse la grive dans le Gard depuis de très nombreuses années. Ce chasseur nous raconte que l’emplacement de son poste est idéal car les grives empruntent son couloir aérien matin et soir.
Patience et vision parfaite pour la grive
La chasse à l’affût est une épreuve de patience : on peut passer des heures à attendre, dans le froid, giflé par le vent, et sans aucun gibier à l’horizon.
Denis nous explique, entre quelques coups d’appeaux, que le plus important dans la chasse à la grive est de voir arriver l’oiseau pour avoir le temps de se placer et de l’appeler. La grive est de nature très méfiante. Le moindre mouvement du chasseur peut-être fatal.
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